• La vie douce
  • Posts
  • Comment rendre les moments difficiles plus doux ?

Comment rendre les moments difficiles plus doux ?

Voici 5 façons concrètes d’adoucir les moments d’épreuves

Le printemps est enfin arrivé.
Bon, il y a encore quelques neiges ici et là qui nous jouent des tours d’hiver :-)
Je pourrai bientôt sortir avec plus d’autonomie. J’ai eu droit à un avant-goût quelques jours, c’était formidable!
J’ai beaucoup de gratitude pour ce simple changement de saison qui me permet de profiter plus longtemps de l’extérieur en toute sécurité.

Aujourd’hui, je veux vous parler de 5 façons concrètes de rendre plus doux les moments difficiles.
Les dernières années et leur lot d’épreuves m’ont apporté de beaux cadeaux pour apprendre à trouver de la douceur et même de la faire grandir, du mieux que possible.
Une fois de plus, vous verrez qu’il n’y a rien de magique.
Ce sont des stratégies d’entrainement de notre cerveau qui apportent des réflexes d’apaisement plus naturels, plus évidents.

Le lâcher-prise

Je vous en parle en premier parce qu’il faut absolument revenir à un fait : on ne contrôle presque rien sauf peut-être nous-mêmes, nos réactions, nos choix, nos habitudes de vie. Pour le reste, plus vite on comprend que l’on n’a pas ou peu de contrôle, mieux on se porte.
Le lâcher-prise permet aussi plus de simplicité et d’éviter de complexifier ce qui peut être fait ou réglé rapidement.
Simplifiez-vous la vie dans les moments difficiles.
Vous pouvez appliquer le lâcher-prise à tout ou presque.
Attention à ne pas confondre lâcher-prise et détachement excessif, apathie ou égocentrisme. Pour moi, lâcher-prise veut dire d’avoir le discernement de reconnaître ce que je ne contrôle pas (ma maladie, ma monoparentalité, le système de santé souvent fâchant, l’absence des gens, etc.) et donc, de ne pas m’y attarder inutilement. Autrement, cela a tendance à générer de l’anxiété. Non merci, je passe à autre chose!

La discipline

La discipline est très liée au lâcher-prise parce que c’est peut-être le moyen de garder du contrôle là où nous en avons réellement. C’est une façon de mettre toutes les chances de notre côté pour que les moments difficiles semblent un peu plus doux.
Par exemple, aller dehors pour bénéficier des bienfaits de la lumière naturelle à tous les jours, bien manger, s’hydrater, faire très attention au temps passé devant les écrans, bien dormir etc.
En prenant soin de soi, les mauvaises nouvelles restent ce qu’elles sont, mais elles ne sont pas reçues dans un corps sédentaire, épuisé par le manque de sommeil, qui ne prend jamais de vitamine D naturelle, surexposé aux rayons bleus des écrans et au contenu anxiogène des nouvelles et des réseaux sociaux.

On peut aussi appliquer la discipline à une grande partie de nos pensées. Si on va souvent dans des spirales de colère, d’amertume, d’inquiétude, on peut se transformer, un petit pas à la fois à chaque jour, avec la discipline de la gratitude.

La gratitude

Elle revient tout le temps, avec sa grâce et sa capacité à apaiser.
Selon la neuroplasticité, plus il y a des habitudes ou types de pensées présentes, plus ce sera amplifié.
Si on est tout le temps découragé, on le sera toujours plus.
Si on est tout le temps en colère, on le sera encore plus.
Si on est tout le temps triste, on le sera encore et encore.
Il faut s’observer quand on part dans ces directions.
Si vous avez besoin d’aide pour commencer à entrainer votre cerveau, vous avez accès à mon guide et ses bases concrètes pour rendre la gratitude plus naturelle dans votre vie.

La dédramatisation

C’est rarissime que l’on vive des choses très graves et nous ne sommes pas les seuls à vivre des choses difficiles.
Relativisez toujours, le plus possible.
Dans les moments difficiles, on est plus prompts à tout prendre de manière personnelle. Et pourtant, il faut apprendre à ne pas prendre les choses personnellement.
Rappelons-nous que les autres aussi ont un quotidien rempli de joies et de difficultés qui les poussent à agir d’une certaine façon.
La plupart du temps, leurs réactions et leurs gestes n’ont rien à voir avec nous.

Aussi, il faut apprendre à arrêter d’entretenir des rancunes qui alourdissent un quotidien déjà difficile.
Le pardon allège nos difficultés en nous libérant de l’amertume et des scénarios dramatiques qui tournent parfois en boucle dans nos pensées.

Le recul est important dans la dédramatisation parce qu’il faut se demander si dans quelques semaines, mois ou années ce sera important. Parfois, même une petite heure de recul suffit.
Alors, il faut apprendre à écouter, à observer et même à ignorer quand c’est nécessaire.

La Foi

Avoir une confiance absolue en plus grand peut aider.
Dans mon cas, je suis chrétienne alors ce plus grand est Dieu. Pour d’autres, c’est le divin, l’univers et autres.
Avec ma Foi, je sens que je ne suis pas seule dans ce que je vis. Je peux remettre à Dieu tous mes fardeaux. Je peux recevoir de l’aide quand je n’ai aucun contrôle. C’est d’ailleurs souvent ce qui m’est arrivé dans les dernières années. J’ai vécu de véritables miracles.
C’est tellement apaisant de s’en remettre à plus grand et d’arrêter de porter le fardeau de la vie sur ses épaules.
Vous y trouverez beaucoup de réconfort.
Je ne m’en sortirais pas sans ma Foi avec tout ce que je vis.

Les périodes difficiles sont un vrai défi et il nous faut des outils pour passer au-travers.
C’est pourquoi je veux vous offrir une méditation guidée pour traverser les moments difficiles dans la trousse à outils de La douce école.

Je l’ai conçue spécialement à partir de ma propre expérience des dernières années.
Il y a deux versions : la première est chrétienne et l'autre est non religieuse.
Cette méditation est simple et fait du bien.
Vous pourrez l’écouter aussi souvent que vous le voulez pour garder espoir, vous apaiser, vous ramener dans la gratitude et le contentement.

Contribuez à La vie douce pour accéder au guide pratique et détaillé.

Vous pourrez accéder à ce guide ainsi qu’aux autres bonus exclusivement réservés aux personnes contributrices.

Déjà un(e) abonné(e) payant(e) ? Se connecter.